Cărţi apărute in programul 20 de autori
50 titluri
Cioran ingenuo y sentimental (titlul original: Cioran naiv şi sentimental)
traducere de Francisco Javier Marina
Program: 20 de autori
Autor: Ion Vartic
Editura: Mira Ediciones
Gen: Eseuri
Limba: spaniolă
Tip apariţie: Carte
An: 2009
Ţara: Spania
La croisade des enfants (titlul original: Cruciada copiilor)
traducere de Marily Le Nir De Florina Ilis, paru aux éditions Syrtes, “La croisade des enfants” est un roman qui ne laisse pas indifférent. Par son style d’abord, incisif, cassant, inquiétant, et en même temps empreint d’une tendresse évidente et truffé d’allusions plus ou moins ironiques qui le rendent d’autant plus vivant et poignant. Et par son récit ensuite… Cette “Croisade des enfants” se déroule en Roumanie et nous met en présense d’un groupe d’enfants en partance pour une colonie de vacances au bord de la mer Noire en tarin. Jusqu’ici rien d’anormal. Les esprits sont à la fête et on sent chez ces jeunes personnes l’excitation du départ mêlée à un peu d’appréhension bien naturelle. Tout se gate pourtant lorsque des écoliers, issus de milieux sociaux assez éloignés les uns des autres et entraînés par le jeune Calman “Tsigane blond à la peau blanche”, décident d’un commun accord de dêtouner ce train. Arrêtés et isolés en pleine campagne, tous ces enfants vont alors s’organiser une vie un peu en autarcie et surtout opposer une farouche résistance aux forces spéciales venues de Bucarest pour les ramener à la raison. La situation se complique encore lorsque les médias s’emparent de cette afaire pour en faire leurs gros titres et semer le trouble dans les esprits bien pensants de la population roumaine. Tour à tour ces enfants vont être assimilés à des terroristes, puis à des malfrats sans que quiconque n’essaie d’entendre la véritable raison de leur rébellion. La situation ne va faire qu’empirer, poussant ces enfants à s’opposer les uns aux autres jusqu’à ce que les autorités roumaines reprennent finalement le contrôle des événements non sans causer quelques drames, malheureusement! Par son sujet, lourd et par moments difficilement supportable, l’auteur roumain Florina Ilis nous dépeint une page de ce qui aurait pu être partide prenante de l’Histoire de son pays avec une franchise déconcertante. Sa narattion, à plusieurs voix et semblant suivre un fil jamais interrompu, accentue encore ce sentiment d’irréalité et d’impuissance associé. On se dit que la demande de ces enfants qui veulent simplement voir disparaître les orphelinats et les maison d’accueil va bien finir par être entendue. Mais, hélas! Ce n’est pas le cas. Le monde des adultes est cruel et sans scrupules. Ce roman nous en offre encore la confirmation si besion…C’est beau. C’est fort. Et absolument bouleversant! ecrit par Martine Galati paru Mardi 26 Janvier 2010, Dauphine libere Train d’enfer Dans une fresque intense et encyclopédique, Florina Ilis révèle la déliquescence de la Roumanie post-communiste. Hallucinant. Est-ce par antiphrase que ce roman étonnant est ainsi titré? On sait l’échec que fut cette croisade insensée au Moyen Âge, et l’on n’est pas sûr qu’elle soit ici inspiré par un quelconque Dieu des enfants…Car à l’ocassion du départ d’un train vers les plages de la mer Noire, la simplette odyssée bascule dans l’imprévu, dans l’horreur. Autour de quelques dizaines de bambins et ados, une sympathique et prometteuse colonie de vacances entraîne la Roumanie entière dans son sillage dévastateur. Selon une succession aléatoire et récurente, ou parfois par association d’idées, on passé d’un paragraphe à l’autre, d’un personage a l’autre, paragraphes terminés par une virgule et dont le flux paraît ne jamais devoir s'arrêter. Ainsi, peu à peu, le strates de la société roumaine sont visualisées, comme par une parfaite et immense coupe. Coupe également à traves chaque protagoniste en quelque sorte radiographié. On plonge dans la psyché de ceux qui amènent leur rejeton et quittent le quai de la gare, de ceux qui prennent ce train, enfants, profeseurs accompagnateurs, croyants et athées, dont un clandestin de 12 ans: Calman…Et ceux qui gravitent autour de l’action, depuis une sorcière tzigane en passant par un concepteur de sites web, un “Baron” de la pègre, un député corrompu, un chef de la pólice…Au point qu’ils paraissent nous livrer tous les secrets de leur passé, de leur vie, sinon de leur futur. Pavel, le journaliste et rédacteur en chef, peut-être la métaphore de l’auteure, s’est écarté de son père, parfait ouvrier du communisme, pour dénoncer les failles du régime de Ceausescu. Puis pour traquer les scandales politiques et les réseaux de la prostitution d’enfants abandonnés. Promesse d’un avenir meilleur, il est confronté à la déliquescence générale de la Roumanie. Il sera celui qui comprend le premier la portée de l’événement, le premier converti par cette croisade. Ne serait-ce que cette plongée dans les composantes individuelles d’un pays par un redoutable narrateur omniscient, ce libre serait déjà à retenir. Mais Calman, le blond tzigane, va jouer un rôle prépondérant: il engage les gosses dans “des stratégies de conquête du train”, enfermant les profs dans leur compartiment. Ils développent alors une vie en marge des règles adultes et changent la colonie de vacances attendue en anarchie charmante, puis délinquante, aux dépens de ceux qui représentent l’autorité parentale, pédagogique et politique, mettant presque en déroute le pouvoir, y compris de l’armée. Peut-on croire à “la pureté des petits monstres qu’ils ont mis au monde”? L’hypothèse terroriste, les armes trouvées par les mutins qui “jouent à la guerre”, puis l’irruption des cohortes des enfants des rues affolent l’opinion publique et les médias, ébahis par les victimes et les revendications de ceux qui veulent être pourris de cadeaux, mais aussi “un parlement des enfants”. Dans le cadre du réalism, le crescendo devient hallucinant. L’ironie, le sens de la narration et la culture aussi rayonnantre qu’acérée de Florina Ilis Font merveille, éveillant chez le lecteur mille étages de réflexion. Qu’est-ce qu’ ”Order of innocence”: un virus informatique, un site polarisant les fantasmes, ou le génie du mal inhérent aux plus jeunes? Plus encoré que dans Sa majesté des moches de William Golding, l’enfance est ici démythifiée. La limite entre les jeux vidéo, Harry Potter, Eminem (héros adulés) et la conquête du pouvoir réel est gaillardement franchie. De plus, le roman-somme affirme ici sa vocation à figurer, interpréter et interroger le monde, en un examen à la fois social, satirique et métaphysique, jusqu’au “mysticisme délirant”. Image du chaos postcommuniste et de la condition parfois exécrable des jeunes Roumains, de la dégringolade des utopies, ce vaste apologue est bourré de talents jusqu’à la gueule. Au point que notre conception de la nature humaine en est ébranlée. ecrit par Thierry Guinhut, La Matricule des Anges Février 2010
Program: 20 de autori
Autor: Florina Ilis
Editura: Editions des Syrtes
Gen: Proză
Limba: franceză
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Franța
Orbitor. Kroppen
traducere de Steinar Lone
Program: 20 de autori
Autor: Mircea Cărtărescu
Editura: Bokvennen
Gen: Proză
Limba: norvegiană
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Norvegia
Ligeros cambios de actitud (titlul original: Mici schimbări de atitudine)
traducere de Rafael Pisot "La editorial Nadir ha elegido, como una de sus líneas de publicación, la literatura rumana (por lo que yo conozco no especialmente difundida en España), lo cual es una idea a celebrar por su frescura y por la justicia que implica hacernos llegar las formas de vida y de escritura de nuestros vecinos europeos de quienes parece que tan sólo conocemos los Cárpatos y la leyenda de Drácula, manida y desvirtuada hasta lo pestilente. Por otra parte el número creciente de nacionales de aquel país en nuestra querida piel de toro, no sólo justifica el hecho de estas publicaciones, sino que subraya la inteligencia de la empresa. Ligeros cambios de actitud es una colección de relatos de Razvan Petrescu que no será “amable” con el lector. El público de esta obra no se encontrará con historias de vampiros, ni con sociedades elegantes del siglo XIX sino con la desesperación y la angustia, la desestabilización personal de la vida del siglo XX de los rumanos (aunque en tantas cosas podrían ser cualquier pueblo europeo o, en general, occidental), sometidos a los vaivenes políticos y a las presiones de un comunismo incipiente y totalitario. No faltan ocasiones en que los cuentos parecen redactados por hombres muertos o mentalmente enfermos (en uno de los casos incluso el protagonista dice compartir manicomio con su padre). Los relatos se interrelacionan en ocasiones, formando parte los personajes unos de otros, aunque se trata de algo puntual, pero sí comparten una serie de características que los engloban en un mismo mundo claustrofóbico y triste, gentes que echan de menos situaciones que se fueron, personas que las dejaron… aunque el autor muestre de forma continua su sentido del humor (ácido o cáustico sin duda). Como parte de ese universo están las enumeraciones, a veces ilógicas, sin relación entre los elementos que se citan, haciendo un uso muy peculiar de este recurso tan propio de la literatura que ha sido objeto de estudio por el mismísimo Umberto Eco. Sin embargo esas enumeraciones tienen su sentido, y se ve claramente en uno de los relatos donde se citan las cosas que aparecen en el televisor frente al que está atada una anciana obligada a ver toda esa programación absurda a la que nos someten desde las cadenas sin conciencia. Esa lista de programas basura, documentales, entrevistas, noticieros… es muy expresiva, y deja clara la realidad que vivió el hombre del siglo veinte y vive el del siglo veintiuno, todavía más tecnificado. Se trata de un agobio existencial que me recuerda a El expolio de El Greco. Un hombre rodeado de situaciones que no comprende y no puede comprender. De elementos amenazantes, agobiantes, casi ilimitados… o sencillamente ilimitados. Sobre la capacidad de observación del autor y la sociedad solitaria que describe pueden traerse aquí algunos fragmentos de la página 161 de la presente edición, del breve relato En el cine, donde habla de mujerees mayores que se han quedado solas: “Las más afortunadas se habían ganado ahora la compasión de los parientes, viviendo a hurtadillas como sirvientas sin paga alguna. Inmediatamente reprendidas, eso sí, en cuanto rompían un plato, llamándoles la atención para que anduvieran con cuidado, para que no volvieran a hacerlo. Menudas, delgadas, con dolor de huesos y memoria, ajetreadas por aquí y por allá entre los hijos, los nietos, los bisnietos y los recién nacidos. Se evadían en el pequeño cine con una alegría infinita y durante una hora y media podían dejar de lado sus obligaciones. Podían por fin intercambiar un recuerdo, una opinión, un nombre, una lágrima con alguien. Porque, fuera cual fuera la película, al final empezaban a llorar. Se sonaban la nariz y lloraban en sus pañuelos bordados”. El autor, médico de profesión, que abandonó su quehacer para dedicarse a la Literatura (como nuestro Pío Baroja), analiza con precisión de cirujano toda esa realidad, y, como autodidacta menciona muchos de sus descubrimientos literarios e incluso cinematográficos (también evidentemente muy literarios), que pueblan la obra de referencias culturales rumanas y no sólo rumanas. Aparecen también varios ciegos, mendigos que no despiertan la piedad del hombre de la calle, elementos propios de la cocina rumana, y también descripciones del mundo de las editoriales, con lectores y editores que se enfrentan a las obras de los noveles con actitudes que pueden parecernos extrañas pero que quizá responden al mundo que descubrió el autor en sus primeros acercamientos. En la página 154 podemos leer algunas reflexiones interesantes sobre el tema “Allí, a la izquiera, están los textos de los autores desconocidos, incomprendidos, no publicados, que en primer lugar te piden la opinión y luego se vuelven unos resentidos. Una vez, un novelista al que rechacé me puso un murciélago debajo del felpudo”. En resumen, nada es fácil de interpretar en estos relatos, pero merece la pena intentarlo para encontrarnos reflexionando sobre nuestro día a día, sobre la realidad que asumimos diariamente y que nos angustia irremediablemente, aunque queramos fingir que desconocemos esa angustia de lo que no entendemos, de lo que nos bombardea con persistencia inhumana." (Guillermo Arróniz López, El Librepensador, 03.07.2010)
Program: 20 de autori
Autor: Răzvan Petrescu
Editura: El Nadir
Gen: Proză
Limba: spaniolă
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Spania
Händelser ur den omedelbara overkligheten (titlul original: Întâmplări din irealitatea imediată)
traducere de Inger Johansson cu o posfaţă de Herta Müller
Program: 20 de autori
Autor: Max Blecher
Editura: h:strom
Gen: Proză
Limba: suedeză
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Suedia
Dita mignole (titlul original: Degete mici)
traducere de Maria Luisa Lombardo
Program: 20 de autori
Autor: Filip Florian
Editura: Fazi
Gen: Proză
Limba: italiană
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Italia
Sans Issue/ Fără ieșire
traducere în limba franceză de Linda Maria Baros
Program: 20 de autori
Autor: Ioan Es. Pop
Editura: L'Oreille du Loup
Gen: Poezie
Limba: franceză
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Franța
La cruzada de los niños (titlu original: Cruciada copiilor)
Traducere de Francisco Havier Marina Bravo
Program: 20 de autori
Autor: Florina Ilis
Editura: Ediciones del oriente y del mediterraneo
Gen: Proză
Limba: spaniolă
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Spania
El Ieud sin salida (titlu original: Ieudul fără ieşire)
Traducere de Dan Munteanu Colán
Program: 20 de autori
Autor: Ioan Es. Pop
Editura: Ediciones Baile del Sol
Gen: Poezie
Limba: spaniolă
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Spania
Los clientes de la Tía Varvara: historias clandestinas (titlu original: Clienţii lu' Tanti Varvara: istorii clandestine)
Traducere de Francisco Javier Marina
Program: 20 de autori
Autor: Stelian Tănase
Editura: Mira Ediciones
Gen: Proză
Limba: spaniolă
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Spania
The Băiuţ Alley Lads (titlu original: Băiuţeii)
Traducere de Alistair Ian Blyth
Program: 20 de autori
Autor: Filip Florian
Editura: University of Plymouth Press
Gen: Proză
Limba: engleză
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Regatul Unit
Auntie Varvara’s Clients (titlu original: Clienţii lu' Tanti Varvara)
Traducere de Alistair Ian Blyth
Program: 20 de autori
Autor: Stelian Tănase
Editura: University of Plymouth Press
Gen: Proză
Limba: engleză
Tip apariţie: Carte
An: 2010
Ţara: Regatul Unit